spacenews
signes
extraterrestres...
12.08.2004
Des scientifiques prétendent avoir découvert des débris d'un vaisseau spatial
Des
scientifiques russes ont affirmé avoir découvert les débris d'un
vaisseau spatial extra-terrestre tombé en 1908 sur le site de
Toungouska, en Sibérie, rapporte mercredi soir l'agence russe Interfax.
Les
scientifiques, qui appartiennent au Fond du phénomène spatial de
Toungouska, ont également trouvé sur place une pierre de 50 kg qu'ils
ont envoyé pour analyse à Krasnoyarsk, ville de Sibérie. Le
cataclysme de Toungouska, survenu dans une région désertique de Sibérie,
constitue un des plus grands mystères scientifiques du 20e siècle.
Le
30 juin 1908, ce qui aurait pu être un météorite a explosé à
quelques kilomètres de la rivière Toungouska, provoquant une onde de
choc perçue à des centaines de kilomètres à la ronde et dévastant
2.000 km2 de forêt sibérienne. Mais
la nature exacte du corps qui a explosé et son origine demeurent un
mystère. (AFP)
|
02.09.2004 Des
signaux extraterrestres peut-être captés à Arecibo...
AFP
- Un signal radio particulier venu du fin fond de l'univers pourrait être
un message émis par une civilisation extraterrestre, écrit le magazine
renommé New Scientist dans sa dernière livraison. Ce
signal, venant d'un point situé entre les constellations du Poisson et
du Bélier, a été capté à trois reprises par le radiotélescope
d'Arecibo, à Porto Rico.
|
|
Ce
signal pourrait aussi avoir été émis soit par un phénomène
astronomique jusque-là inconnu, soit par un "produit
dérivé" du télescope lui-même, tempère New Scientist. Le
mystère n'en excite pas moins la communauté astronomique
internationale. "S'ils
peuvent le capter quatre, cinq ou six fois, cela deviendra vraiment
passionnant", a expliqué Jocelyn Bell Burnell, de l'Université de
Bath en Angleterre, citée par le magazine.
Le
signal a été diffusé sur la principale fréquence sur laquelle
l'hydrogène absorbe et émet de l'énergie, et par laquelle, selon les
astronomes, il est le plus probable que des extraterrestres
manifesteraient ou trahiraient leur présence.
|
Les
signaux radio venus de l'univers sont passés au crible dans le cadre le
programme Seti (Search for extraterrestrial Intelligence).
En
1995 ont été découvertes les premières "exoplanètes",
planètes situées autour d'étoiles lointaines, en dehors de notre système
solaire. Il s'agit pour l'heure plutôt de planètes géantes et
gazeuses plus proches de Jupiter que de la Terre, donc impropres à la
moindre forme de vie.
|
04.09.2004 Quand
un signal spatial fait à nouveau rêver sur les extraterrestres...
AFP
- L'annonce de la réception d'un signal indéterminé venant de
l'espace a mis en émoi ces derniers jours les partisans de l'existence
d'extraterrestres, mais la thèse d'un message en provenance d'un autre
monde a été immédiatement battue en brèche par d'autres
scientifiques.
Un article publié par
la revue britannique New Scientist faisant état d'un signal étrange détecté
par le radiotélescope d'Arecibo, situé à Porto Rico, a relancé la
polémique, laissant penser un instant que l'interminable attente d'un
message artificiel extraterrestre était arrivée à son terme. Ce
signal, baptisé SHGbo2+14a, et émanant apparemment d'un point situé
entre les constellations du Poisson et du Bélier, a été perçu par le
projet Seti (Search for Extraterrestrial Intelligence), un réseau
utilisant Arecibo et des millions d'ordinateurs pour détecter et
analyser les signaux venant de l'espace.
|
|
Mais pour de nombreux
scientifiques, SHGbo2+14a a peu de chances d'avoir été transmis en
direction de la Terre par des extraterrestres. Selon un membre du Seti,
Seth Shostak, il ferait seulement partie de très nombreux
"candidats" à une telle qualification. Et, selon lui, il n'a
même pas été élevé au rang de "prometteur". Il pourrait même
tout simplement provenir d'une source naturelle - n'importe quel astre -
ou il s'agirait d'une interférence d'appareils se trouvant sur Terre.
Ainsi, près de six ans
après avoir commencé à fouiller les cieux, le réseau Seti semble
avoir fait une nouvelle fois chou blanc. De la même façon que le
Projet Phoenix, qui a tenté d'intercepter des signaux radio artificiels
provenant de quelque 800 étoiles au cours des 10 dernières années.
|
La question
d'extraterrestres tentant d'entrer en communication avec la Terre n'a
pas cessé d'alimenter un vaste débat dans la communauté scientifique
depuis qu'elle a été soulevée en 1950 par le physicien Enrico Fermi.
Les tentatives de
détection d'un message artificiel remontent à l'idée lancée en 1959
par deux scientifiques de l'Université Cornwell d'utiliser les
radio-télescopes pour se mettre à l'écoute d'autres planètes
habitées.Selon eux, les ondes radio seraient la meilleure manière de
communiquer sur des distances interstellaires, même si le signal émis
devait mettre des dizaines de milliers, voire des millions, d'années à
nous parvenir.
Mais pour être sûr
qu'il s'agit bien d'un message extraterrestre, il faudrait qu'il soit
clair, du genre "Je suis une forme de vie intelligente, et
vous?", ou qu'il soit répété. Par
ailleurs, si certains estiment que d'éventuels extraterrestres
tenteraient de nous contacter grâce à des ondes, d'autres cités la
semaine dernière par la revue scientifique britannique Nature ne sont
pas de cet avis. Selon eux, envoyer un message de manière répétée
sur d'aussi longues distances, et peut-être en vain, serait une dépense
d'énergie inutile. Ainsi,
pour le Pr Woodruff Sullivan, un astronome de l'Université de
Washington (Etat de Washington), il serait plus efficace d'envoyer des
sondes, "en quelque sorte des messages dans une bouteille".
Mais pour beaucoup, la
recherche désespérée par l'Homme d'une vie extraterrestre ne reflète
que sa peur d'être seul dans l'univers. Et "rien, à part des
statistiques, ne vient appuyer l'idée que la vie, ou au moins une vie
intelligente, existe autre part que sur Terre", reconnaissait en
2001 l'auteur de science-fiction Brian Aldiss.
|
19.02.2006 Des
civilisations intelligentes pourraient se trouver dans 5 étoiles proches
Cinq étoiles proches dans notre galaxie, la Voie Lactée, sont probablement
les meilleures candidates pour avoir des planètes semblables à la Terre
qui pourraient abriter des civilisations intelligentes, a annoncé une
astronome américaine. Cette sélection a été faite selon un certain nombre
de critères, comme la taille, la composition, l'âge et la couleur de ces
étoiles qui les rendent similaires à notre soleil, a expliqué Margaret
Turnbull, de la "Carnegie Institution" à Washington.
Elle a dévoilé
sa
tête de liste des étoiles vers lesquelles les radios télescopes peuvent
tourner en priorité leurs oreilles pour avoir les meilleures chances de
capter des signaux extra-terrestres,
lors de la conférence annuelle de la société américaine pour la promotion
de la science (AAAS). Cette astronome a notamment cité l'étoile beta CVn à
environ 26 années lumières de la Terre dans la constellation Canes
Venatici.
Ces 5 candidats stellaires les plus susceptibles d'abriter des
civilisations extra-terrestres font partie d'une liste de 10 étoiles
retenues par Margaret Turnbull dans le cadre du futur projet "Terrestrial
Planet Finder" (TPF) de la Nasa, dont l'objectif est de trouver et
d'observer des planètes similaires à la Terre. Le TPF, qui consistera en 2
télescopes spatiaux, devait initialement être lancé vers 2016, mais ce
lancement est apparemment repoussé en raison des réductions dans le projet
de budget de la Nasa pour 2007 qui vient d'être soumis au Congrès, a
indiqué Mme Turnbull.
Elle avait commencé sa quête avec ses collègues en vue de sélectionner une
dizaine de candidates les plus prometteuses et suffisamment proches, en
scrutant près de 120.000 étoiles de la Voie Lactée situées dans le
voisinage de notre système solaire. En 2003, cette équipe d'astronomes
avait réduit ce catalogue à 129 "systèmes stellaires habitables", puis à
dix aujourd'hui. Outre l'étoile beta CVn, figure également dans les 10
candidates sélectionnées, Pegasus 51, célèbre depuis 1995 après que des
astronomes suisses y eurent détectée la première planète hors de notre
système solaire, une géante similaire à Jupiter.
Il y a également 16 Sco, très populaire pour les chasseurs d'exoplanètes,
qui se trouve dans la constellation du Scorpion située près du centre de
la Voie Lactée. Cette étoile est quasiment la jumelle de notre soleil, a
souligné Margaret Turnbull. La recherche de signaux émanant de source
intelligente dans l'univers est conduite par le SETI, "Search for
Extraterrestrial Intelligence", une organisation scientifique entièrement
financée aujourd'hui par des fonds privés. L'institut a été créée en 1984
par le célèbre astronome américain Carl Sagan décédé en 1996.
(AFP) |
22.03.2007 soucoupes volantes - le cnes met en ligne ses
archives
La France est devenue le premier pays au monde à mettre en ligne ses
archives officielles sur les objets volants non identifiés, dans un
exercice inédit de transparence qui vise à dissiper les accusations de
dissimulation lancées par certains passionnés. Ces archives [http://www.cnes-geipan.fr]
contiennent pour l'heure environ 400 dossiers, soit un quart des quelque
1.600 cas observés en France depuis les années 50 (s'y ajoutent quelques
cas plus anciens). Pour l'essentiel, les documents mis en ligne sont des
procès-verbaux de gendarmerie, expurgés des données personnelles sur les
témoins.
Le principal problème rencontré par les scientifiques est le flou de la
plupart des témoignages. Un témoin pourra ainsi assurer avoir vu un
objet volant "en forme de rouleau de papier hygiénique", mais il sera
beaucoup moins précis lorsqu'il lui faudra estimer son angle azimutal...
Alors que le précédent responsable de ces phénomènes au sein du CNES
s'était laissé engluer dans les querelles entourant les ovnis, M.
Patenet a assuré que l'organisme s'en tiendrait désormais à une approche
purement scientifique.
Le site, facile d'utilisation, permet de faire des recherches par région
(ou département), par date ou mots clefs. Il est aussi possible de
sélectionner par catégorie de cas: "A" (élucidé et démontré), "B"
(explication probable sans preuve formelle), "C" (insuffisance
d'informations) et "D" (inexpliqué en dépit de témoignages solides et
d'indices concrets, environ un quart des dossiers). La numérisation a
permis de regrouper dans un même dossier des témoignages jusqu'ici
archivés séparément. Les 800 dépositions collectées le 5 novembre 1990
lors de la rentrée - prouvée - dans l'atmosphère d'un fragment de fusée
ont ainsi été rassemblés. Avec pour conséquence de faire remonter le
pourcentage de dossiers non élucidés, jusqu'alors estimé à 14%.
Chaque année, entre 50 et 100 cas sont signalés au CNES, dont environ
10% font l'objet d'une enquête complémentaire. "Mais seuls quelques
dizaines sur les trente dernières années méritent le nom d'ovnis", selon
M. Patenet.
(Paris - AP) |
HOME
|